Les entreprises jouent un rôle capital dans la lutte contre le réchauffement climatique. La réalisation d’un bilan carbone est une étape incontournable pour évaluer l’impact environnemental de votre entreprise. Mais pourquoi faire diminuer votre empreinte carbone ? Quels sont les avantages d’un bilan carbone ? Comment réduire l’empreinte carbone de votre entreprise ?

Bilan carbone : une étape indispensable pour le développement durable

Le bouleversement climatique affecte directement l’environnement et les populations. Le bilan carbone est un outil efficace mis en place par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), ou agence de la transition écologique. Il permet d’évaluer l’impact de l’activité des collectivités, des entreprises, des administrations et des particuliers sur l’environnement. Il s’agit notamment de contrôler les émissions de GES dans le but d’atteindre les objectifs de développement durable. Grâce au bilan carbone, il est possible d’évaluer les rejets émis par les activités humaines. Notez que les entreprises employant plus de 250 salariés ont l’obligation de limiter leurs émissions de GES.

Le bilan carbone concerne les émissions directes de GES liées à la production et aux transports des marchandises. Il tient compte également des émissions indirectes liées aux consommations énergétiques, à la fin de vie, au transport, à l’approvisionnement des produits, etc. Il existe deux types de bilans carbone (simplifié et complet), mais seul le bilan simplifié est obligatoire.

Sachez que le renouvellement du bilan doit s’effectuer tous les quatre ans. Toutes les entreprises œuvrant dans le secteur des transports (personnes, marchandises, déménagement, etc.) doivent réaliser ce bilan carbone. Grâce au bilan carbone, vous pouvez construire une stratégie RSE solide et améliorer votre image de marque.

Quels sont les principaux avantages d’un bilan carbone ?

Réaliser un bilan carbone et limiter vos émissions de GES vous procurent de nombreux avantages. Cette démarche permet de repérer les principales sources d’émissions de GES et de calculer les émissions de gaz à effet de serre de votre entreprise. Elle améliore notamment votre image. En fait, les consommateurs sont aujourd’hui plus exigeants envers les engagements écologiques des entreprises. Si une entreprise ne répond pas à leur exigence, ils passent certainement à la concurrence.

Le bilan carbone permet d’adopter une démarche plus écologique. Vous pouvez également faire des économies (réduction des coûts d’exploitation) et vous conformer aux réglementations en vigueur. Vous avez aussi la possibilité d’améliorer votre marque employeur. D’ailleurs, les jeunes talents cherchent un travail bien rémunéré et satisfaisant, mais ils veulent également s’engager auprès des entreprises qui partagent leurs valeurs.

Comment réduire son bilan carbone ?

Les entreprises sont obligées de réexaminer leurs pratiques pour diminuer leur impact environnemental face au changement climatique. Pour diminuer le bilan carbone d’une entreprise, il est nécessaire de mettre en place des actions en fonction des modes de transport utilisés. Vous pouvez par exemple optimiser les itinéraires et les flottes et adopter l’éco-conduite pour le transport routier. Pour le transport aérien, il est possible d’opter pour des biocarburants, d’améliorer les facteurs de charge ou de gérer au mieux le trafic aérien. Concernant le transport maritime, vous pouvez adopter une navigation lente, vous servir des carburants moins polluants ou maximiser les opérations logistiques.

D’autres actions sont également réalisables pour réduire l’impact des émissions de gaz à effet de serre liées au transport. Limitez le poids du vide, optimisez les emballages des marchandises et écartez les packagings non adaptés. En fait, les marchandises bien emballées minimisent les risques de retour, de détérioration, et diminuent les émissions de GES.

Pour avoir un bilan carbone neutre, il est conseillé de recourir à une flotte de véhicules ne produisant pas ou peu de GES. Choisissez un transporteur disposant des véhicules électriques. Privilégiez les circuits courts et préférez la livraison à vélo sur les courtes distances. Vous pouvez également neutraliser les émissions de GES liées au transport en adoptant des projets de transition écologique.

L’énergie solaire est une énergie propre qui n’émet pas de gaz à effet de serre. Alternative aux énergies fossiles, c’est l’une des solutions les plus appréciées des familles. Alors découvrez tous les avantages et inconvénients de l’énergie solaire.

L’énergie solaire : c’est quoi exactement ?

L’énergie solaire, c’est une source d’énergie qui dépend ainsi du soleil. En raison de la lumière solaire captée par les panneaux solaires, cette énergie peut être générée à partir de panneaux photovoltaïques ou de centrales solaires thermiques. 

L’énergie solaire est propre et n’émet pas de gaz à effet de serre. Bien que sa matière première, le soleil, soit à plus de 150 millions de kilomètres de vous, elle est gratuite et inépuisable et peut être utilisée partout dans le monde. 

L’installation photovoltaïque nécessite 3 composants : des panneaux solaires, des onduleurs et des compteurs. Ces trois éléments permettent de récupérer l’énergie transmise par l’énergie solaire, de la convertir en énergie électrique, puis de la distribuer à tous les clients raccordés au réseau.

Les capitales raisons d’utiliser de l’énergie solaire

L’un des principaux avantages de l’énergie solaire est renouvelable et donc une source d’énergie inépuisable. Comme il est peu probable que le soleil disparaisse dans 5 milliards d’années, vous pouvez utiliser suffisamment de lumières pour produire de l’électricité et chauffer votre maison. 

Plus intéressant encore, contrairement aux combustibles fossiles, l’énergie solaire ne libère pas de dioxyde de carbone CO2 dans l’atmosphère, n’émet pas d’effets de gaz et ne provoque pas de réchauffement climatique. En effet, le soleil est totalement gratuit, personne ne peut rien vous facturer et vous pouvez générer de la chaleur vous-même. L’énergie solaire peut également économiser beaucoup de coût, car elle n’a pas besoin de payer de tarifs, contrairement à l’énergie allouée par les fournisseurs d’énergie actuels. Cela signifie également que le montant des factures d’énergie a été considérablement réduit.

Les inconvénients sur l’utilisation de l’énergie solaire 

Selon les caractéristiques des équipements d’énergie solaire, il convient de prêter attention au manque d’énergie solaire. En effet, malgré les nombreux avantages, certains inconvénients ne doivent pas être sous-estimés. 

L’un des principaux inconvénients de l’énergie solaire est le coût d’installation. En effet, l’achat de panneaux solaires photovoltaïques d’une puissance de 3 kW nécessite un budget très élevé. Par rapport à d’autres sources d’énergie, l’efficacité énergétique est assez faible. En effet, comparé à d’autres sources d’énergie, le rapport entre l’énergie reçue par les panneaux solaires et l’énergie électrique est beaucoup plus faible. De plus, les performances évoluent avec le temps. 

Par conséquent, l’énergie solaire repose sur la climatologie, qui élimine automatiquement la possibilité d’utiliser l’énergie solaire dans les zones à couverture nuageuse constante. C’est par exemple le cas dans les régions nordiques où il y a peu d’heures solaires en hiver. Également, des panneaux photovoltaïques de très grande surface doivent être utilisés pour assurer une bonne production d’énergie.

De nos jours, l’utilisation de panneaux solaires est en vogue. Non seulement l’appel à préserver l’environnement oblige, mais c’est surtout la hausse constante du prix de l’énergie électrique qui oblige les consommateurs à passer à cette conversion. Par ailleurs, il faut savoir qu’il existe 3 types de panneaux solaires, à savoir le monocristallin, le polycristallin ainsi que celui à couche mince. Il faut savoir que les panneaux à utiliser dépendent de l’installation à envisager ainsi que des performances recherchées.

Les panneaux solaires polycristallins !

Il est connu que les panneaux solaires sont constitués de plaquettes de silicium disposées en colonnes et en largeur. Cependant, la différence entre les modèles réside dans la composition du silicium en question. Dans le cas du polycristallin, la plaquette est formée de plusieurs cristaux de silicium différents. Ainsi, le panneau solaire polycristallin ou multicristallin est particulièrement adapté aux installations nécessitant moins de performances et de rendement comme les fermes solaires. Avantageusement, le coût d’installation de ces derniers est faible par rapport aux autres types de panneaux.

Les panneaux solaires monocristallins !

Comme le panneau solaire polycristallin, le panneau monocristallin est également formé de plaquettes de silicium. Les plaquettes dudit panneau sont ensuite enveloppées dans des feuilles de verre et encadrées. Ce qui différencie le panneau solaire monocristallin du panneau polycristallin est le fait que la plaquette de ce dernier est découpée dans un seul bloc de cristal de silicium. Étant formé d’un seul bloc, ce panneau est idéal pour les installations nécessitant plus de rendement et de performance. C’est dire qu’il parvient à répondre aux besoins en électricité de certaines maisons rurales. Toutefois, son coût d’installation est plus élevé que celui du premier type.

Les panneaux à couches minces !

Il est vrai que les panneaux à couche mince sont constitués de silicium. Cependant, contrairement aux panneaux polycristallins et monocristallins, les composants en silicium de ces derniers sont non cristallins. Cela dit, le silicium de ces panneaux n’est pas solide. Quant à leurs versions, il existe 2 variantes dont la version simple ou la version multijonction. Pour produire de l’électricité, ils sont placés sur du verre, du métal ou du plastique. Il faut noter que ce système correspond à des utilisations simples et basiques. En effet, les perspectives d’application des panneaux à couches minces se situent principalement dans le domaine de l’habitat. Afin d’augmenter les performances des systèmes à couches minces, il suffit de superposer les couches avec une seule jonction.

L’énergie éolienne est une énergie renouvelable qui dépend du vent. Mais, même s’il existe de nombreux avantages à ce type d’énergie, certains inconvénients doivent également être soulignés.

Énergie éolienne : de quelle énergie s’agit-il ?

L’énergie éolienne est une source d’énergie qui résulte du vent. L’énergie générée par l’éolienne utilise la force motrice du vent pour faire tourner l’hélice, qui à son tour entraîne l’éolienne pour produire de l’électricité. Puis, l’énergie cinétique du vent est convertie en énergie mécanique grâce au générateur situé au sommet du mât. L’énergie éolienne peut provenir de projets de parcs éoliens horizontaux à grande échelle ou d’éoliennes domestiques qui reposent sur différentes technologies.

Inconvénients de l’énergie éolienne

L’un des principaux inconvénients de cette énergie est qu’elle est difficilement prévisible. En effet, le vent est difficile à prévoir, et il faut savoir que si une éolienne nécessite un minimum de vent pour démarrer, elle s’arrêtera de fonctionner lorsque la vitesse du vent dépassera 90 km/h. Un autre inconvénient majeur souvent souligné par les riverains est le bruit causé par les équipements.

Pour les aspects plus négatifs, on dit souvent que les éoliennes « gâchent » le paysage. En effet, pour produire suffisamment d’électricité, il faut plus d’une éolienne. Par conséquent, cela prend de la place (une distance prescrite de 500 m est requise entre le mât de l’éolienne et les maisons adjacentes) et de la vue. L’installation d’éoliennes a modifié le paysage. De par leur grande taille, ils marquent l’espace et s’inscrivent dans une logique de bonne intégration paysagère, telle qu’elle s’applique aux ouvrages (ponts, viaducs…). Le bruit peut également être appelé interférence à proximité de l’éolienne. Les éoliennes ont également un impact sur la flore et la faune. La hauteur est particulièrement problématique pour les oiseaux, qui peuvent être touchés par les hélices en mouvement. De plus, le coût de construction des éoliennes est encore très élevé, car son installation nécessite une intervention mécanique particulière, il faut donc tenir compte des coûts de génie civil. Il faut aussi noter que le mât pouvant monter très haut, il n’est pas aisé de démonter l’éolienne.

Les pays qu’utilise plus l’énergie éolienne

Même si cette énergie possède des différents inconvénients, de plus en plus de pays aujourd’hui s’optent pour l’énergie éolienne. Pour les pays disposant de la plus grande capacité éolienne installée est la Chine et les États-Unis possèdent les plus grands parcs éoliens au monde, avec respectivement 350 GW et 150,4 GW. Juste derrière, l’Allemagne, leader européen de l’éolien (qui a été leader mondial jusqu’en 2009), avec 55,9 GW installés. 

L’énergie éolienne change l’énergie mécanique en provenance du vent en énergie électrique. Qu’elle soit flottante ou posée sur le fond de la mer, une éolienne offshore bénéficie de vents plus réguliers, plus forts et plus fréquents qu’à terre. En milieu marin dans la décennie à venir, l’éolien représente le plus grand potentiel de développement d’énergie.

Les technologies de l’éolienne installés en mer

Les éoliennes posées sur le fond de la mer sont implantées sur des fondations directement clouées à la plate-forme continentale. Cependant, elle ne devra pas dépasser le 50 m de profondeur. Pour la poser sur les fonds marins, trois méthodes existent. Premièrement, un pieu géant est planté dans le sous-sol marin, c’est ce qu’on appelle « fondation monopieu ». Elle est soit implantée dans un trou percé avec une perceuse hydraulique, soit placée à l’aide d’un marteau hydraulique. Ensuite, la fondation en « Jacket » ou structure métallique. Celle-ci est un type de tour-treillis de 3 ou 4 pieds. Enfin, la fondation béton gravitaire. C’est le fait de construire un béton en vue de le poser sur fond marin. Elle assure la stabilité et soutient le poids des équipements.

L’éolienne installée d’une façon flottante

La technologie des éoliennes flottantes tient le relais à partir de plus de 50 m de profondeur. Fixées au sous-sol marin par des câbles, les éoliennes reposent sur des semelles flottantes. De nos jours, les technologies de l’éolien offshore en sont au stade des prototypes vérifiés en mer. Pour cela, trois options sont notamment discernées. Le premier nécessite une profondeur d’au moins 100 m sous l’éolienne. Il est celui d’un seul flotteur sous forme de SPAR. L’autre option est celle de la plateforme semi-submersible. Il est posé sur nombreux flotteurs, avec une fixation gravitaire standard. La dernière option est celle dite Tension Leg Platform. Celle-ci se caractérise par une fixation tendue, qui a pour conséquence de rigidifier le mouvement.

Des aérations plus fortes, des éoliennes plus puissantes

Contrairement à ceux des éoliennes terrestres classiques, les frais de production et d’installation des éoliennes en mer sont supérieurs. Néanmoins, leurs rendements sont plus élevés que l’autre. L’atout de l’offshore est que les vents y sont réguliers et plus forts. De plus, la production d’énergie peut monter jusqu’à 60 %. Tout cela, c’est grâce à la taille des turbines qui peuvent être 2 à 3 fois plus puissantes qu’une éolienne terrestre. Pour produire de l’énergie, la vitesse de vent doit être supérieure à 10 km par heure. La mer bénéficie de vents de 30 km/h en moyenne. Elle peut fournir 8 fois plus d’énergie qu’un site bénéficiant des vents de 15 km/h.

Avez-vous déjà entendu parler de l’éolienne pour fournir de l’énergie ? Ce système est actuellement utilisé dans de nombreuses régions, notamment celles où le vent est bon toute l’année, pour produire de l’électricité verte. Mais saviez-vous qu’il existe trois types différents d’éoliennes ? Les éoliennes horizontales, verticales et offshore se distinguent par leur axe de rotation, leur praticité et leur zone d’utilisation.

L’éolienne à axe horizontal !

L’éolienne à axe horizontal est le type d’éolienne le plus classique, que vous trouverez partout au bord des routes. L’axe du rotor, où sont placées les hélices, est en position parallèle au sol, c’est pourquoi on l’appelle axe horizontal. Écologique et abordable, ce type d’éolienne fonctionne grâce à l’énergie mécanique du vent, qui tend à faire tourner les pales pour produire de l’énergie et activer le rotor. Un générateur, installé à l’arrière du rotor, est relié à ce dernier, dont le rôle est de transformer cette énergie mécanique en énergie électrique. Le mât (le support vertical qui maintient le rotor : les pales et le moyeu) transporte cette énergie vers un transformateur, installé au bas de l’éolienne. Des câbles sont reliés au transformateur pour acheminer l’électricité jusqu’aux foyers.

L’éolienne à axe vertical !

Économique et facile à installer, l’éolienne à axe vertical est une source d’énergie domestique verte. Certes, la puissance de ce type d’éolienne est suffisante pour alimenter une maison, car certains modèles peuvent faire tourner les pales même avec des vents faibles, comme les éoliennes de type Savonius. L’axe de rotation d’une éolienne à axe vertical est perpendiculaire à la direction du vent.

Il existe également trois types d’éoliennes à axe vertical. Le type Savonius est formé par un axe vertical, composé de cylindres, tournant sur eux-mêmes pour produire de l’énergie. Vous pouvez également choisir l’éolienne Darrieus, un type vertical peu encombrant. Ses pales rotatives sont de forme parabolique et leurs extrémités sont fixées aux extrémités du mât. Enfin, les éoliennes à ailes tournantes sont constituées de pales en voile, qui tournent et se gonflent sous l’action du vent.

L’éolienne offshore !

Les éoliennes offshore sont également appelées « éoliennes en mer ». Ce type d’éolienne a le même principe de fonctionnement qu’une éolienne à axe horizontal. Cependant, elle ne comporte que trois pales, avec une épaisseur et une résistance plus importantes. En effet, la vitesse du vent et le courant d’air sont très puissants près de la mer. De plus, l’éolienne offshore est confrontée à l’alternance d’air humide et chaud, qui sont des conditions météorologiques instables, d’où la nécessité d’une résistance à la corrosion.

L’installation d’une éolienne pour un particulier doit respecter certaines règles qui sont à respecter bien que la législation ne soit pas encore claire. Suivez les démarches pour installer une éolienne pour un particulier.

Demande de permis d’installation d’une éolienne pour un particulier

Pour toute éolienne domestique dont le mât est supérieur à 12 m de hauteur, le permis de construire pour installer une éolienne est obligatoire. Mais, son obtention n’est pas évidente. Pour le moment, il n’y a pas de réglementation uniforme. Vous devez faire votre demande auprès de la mairie, si l’électricité produite est destinée à la consommation du foyer. Par contre, si elle est destinée à être revendue au fournisseur d’électricité, vous devez vous adresser à la préfecture.

Pour l’éolienne pour particulier inférieure à 12 m de hauteur, il suffit de faire une simple déclaration à la mairie. Dans les cas, assurez-vous auprès de la mairie de votre commune que la zone où vous allez installer votre éolienne pour particulier est éligible. En effet, l’installation d’une éolienne pour particulier n’est pas autorisée par certains Plans locaux d’urbanisme et dans les endroits classés monuments historiques et dans les sites protégés et classés.

Information du voisinage de l’installation de votre éolienne

Informer le voisinage de votre projet est obligatoire pour installer une éolienne pour particulier. Avant de délivrer le permis de construire, une enquête de voisinage est menée, car certains considèrent l’éolienne comme une nuisance sonore et visuelle. Il vous est conseillé d’informer l’entourage proche dans un rayon de 500 mètres afin d’avoir le maximum d’adhésion et de communiquer les avantages de l’énergie éolienne.

L’énergie éolienne est 100 % naturelle, durable et renouvelable. Elle ne provoque pas de la pollution. Communiquer en amont le choix de l’implantation, l’évaluation acoustique…

Comment installer une éolienne pour particulier ?

Avant d’installer une éolienne, vérifiez que votre terrain doit remplir les conditions nécessaires : l’alimentation en vent doit être constante et a une force moyenne annuelle de 20 km/h. Votre terrain doit être exposé à des vents réguliers et fréquents. Il ne doit pas se trouver dans un endroit de turbulence atmosphérique ; il ne doit pas être près des câbles aériens.

Deux éléments sont à prendre en compte pour que votre éolienne produise suffisamment d’énergie : l’exposition au vent et la topographie. Vous pouvez connaitre le premier critère à l’aide d’un anémomètre : à 16,2 km/h, l’éolienne démarre. La vitesse idéale pour la production de l’énergie est de 25,2 km/h. Lorsque le vent est trop fort, aux environs de 90 km/h, l’éolienne s’arrête. Il est utile de faire une étude par le professionnel pour le deuxième critère.

Les barrages hydrauliques sont utilisés pour intercepter l’eau des cours d’eau naturels, formant de ce fait un lac de stockage d’eau. Par ses forces de chute, l’eau entraînera la turbine pour produire de l’électricité. L’électricité produite par le barrage est renouvelable.

Découvrez les différents types de barrages disponibles et leur fonctionnement.

Comment est conçu le barrage-voûte ?

Le barrage-voûte est facilement identifiable, cette conception incurvée n’est pas un accident. En effet, la partie saillante de l’arche en béton fait face au lac stagnant, concentrant la puissance de l’eau sur les rochers de la berge. En conséquence, la puissance est dirigée vers les flancs où se trouve le pivot du barrage, cette sorte de barrage est spécialement approprié aux vallées étroites, sa création incurvée ferme les vallées tout en instaurant des hautes cascades.

Dans les régions de la France, beaucoup de barrages-voûtes sont construit dans divers départements. Les structures topologique du site permettent la construction des barrages hydrauliques en béton, les deux côtés du barrage reposant sur des parois rocheuses de la vallée, hormis ces murs naturels solides, des barrages-voûtes ne peuvent pas être construits.

Qu’en est-il du barrage-poids ?

Comme son nom l’indique, les caractéristiques d’un barrage poids est sa masse. Très lourd, ce type de barrage résiste à la pression de l’eau par la force absolue de son poids, c’est énorme quand on est face à ce type de barrage.

Par conséquent, ce dernier doit avoir une forte résistance, car il doit résister à la pression de l’eau sur le barrage, son design est très particulier. Le béton armé générera le poids utilisé pour supporter la structure sur la fondation rocheuse. Les barrages-poids sont généralement de forme triangulaire. La partie faisant face au lac d’accumulation est plane afin de répartir la pression de l’eau sur toute la surface. Dans certains cas, il est rectangulaire, surtout dans les vallées étroites.

Il existe des barrages hydrauliques à contreforts

Le barrage à contreforts hydraulique est construit en béton armé, c’est une sorte de barrage qui utilise plus de béton. Par rapport aux barrages poids ou aux modèles en arc, il a une forme triangulaire et est particulièrement léger. Sa structure est constituée d’un mur plat, qui repose sur des contreforts qui soutiennent la surface faisant face au lac d’accumulation qui est situé derrière le barrage, solidement ancrés au sol rocheux, qui doit être très résistant. Les parois du barrage reposent également sur les rochers. Par conséquent, la pression de l’eau est concentrée sur les côtés.

Dans la vie quotidienne  l’homme a besoin d’électricité pour pouvoir subvenir à certains de ses besoins quotidiens. En effet, de nombreuses personnes travaillent de nos jours au dépend de l’électricité. Cette énergie peut provenir de plusieurs sources, notamment, de l’eau.

L’énergie hydraulique, quand l’homme a commencé à l’utiliser ?

Parmi les énergies permettant de fournir de l’électricité figure le système hydraulique. Avant tout l’idée est apparue durant la période de l’Antiquité par l’utilisation du premier moulin à eau, pour servir à moudre le blé pour obtenir de la farine. Ensuite, quelques années plus tard, apparaît enfin la toute première turbine électrique pour fournir de l’électricité. Le concept est resté le même durant une très longue période dû au fait que l’eau entraîne le générateur, ce qui crée ainsi une énergie, une électricité, qui sert à alimenter tout ce qui est appareil électrique. En effet, ce concept est toujours utilisé de nos jours pour alimenter certaines villes.

Le principe de fonctionnement de l’énergie hydraulique

En effet, le concept consiste à puiser l’énergie fournit par l’écoulement de l’eau et deux systèmes peuvent être utilisés. Tout d’abord, le premier modèle consiste à installer un barrage, pour cela, l’eau se dirige vers une seule ouverture où est placé le générateur. Ainsi, le niveau de l’eau avant et après le passage de la turbine n’est pas le même. De ce fait, le principe de fonctionnement du barrage réside sur la différence de hauteur de l’eau, pour qu’elle puisse accélérer encore plus. Le second modèle consiste à installer un générateur dans les cours d’eau à fort débit d’écoulement. Sur ce cas, l’eau n’est pas stoppée, comme pour celui d’un barrage, et il n’y a pas de différence de hauteur de l’eau.

Les avantages de l’utilisation de l’énergie hydraulique

Puisqu’elle est utilisée depuis de nombreuses années jusqu’à aujourd’hui, l’énergie hydraulique présente des avantages. Premièrement il s’agit en effet d’une source d’énergie renouvelable, car aucun gaz ni aucune saleté n’est rejetée , et l’énergie est puisée directement grâce à l’eau qui s’écoule. Mis à part cela, la présence de l’énergie hydraulique n’impacte pas la quantité d’eau sur la terre, il n’y a aucune perte sur le niveau d’eau. En outre, son exploitation est sécurisée , car vous n’avez pas besoin de moins en hauteur et vous n’avez pas besoin d’utiliser du carburant.

Toutefois, de nos jours, pour être totalement écologique, il est tout à fait envisageable d’allier la source hydraulique à une autre énergie, comme celle du soleil par les panneaux solaires ou même du vent par les éoliennes.

L’électricité est actuellement l’un des éléments les plus essentiels pour faciliter la vie quotidienne. Pour produire ce type d’énergie, plusieurs alternatives sont actuellement utilisées. La solution hydroélectrique est parmi les plus anciennes dans cet ordre. Elle est très présente notamment dans les régions d’élévation où les lacs et les rivières sont très présents. L’énergie hydraulique est en effet produite grâce à une centrale dédiée à cet effet. S’agit-il d’une énergie efficace et rentable ? Quels sont ses désavantages ? Si vous souhaitez en savoir plus sur les principaux inconvénients de ce type d’énergie, ce guide vous apportera toutes les informations nécessaires.

Peu écologique et coûteuse !

L’énergie hydraulique est actuellement parmi les plus maîtrisées en plus d’offrir un rendement assez intéressant. Cependant, plusieurs inconvénients peuvent être trouvés pour cette alternative. En effet, les centrales hydroélectriques ne sont pas très écologiques. L’installation d’un barrage implique l’intervention d’un grand nombre de techniciens qui perturbent l’écosystème local.

Il faut également savoir que l’installation d’un réseau électrique est indispensable en plus de la centrale elle-même. Dans le même ordre, la construction de routes et d’un centre de contrôle est également importante. Tout cela rend la facture de l’installation d’une telle station très onéreuse.

Instabilité et entretien !

La fourniture d’électricité par une centrale hydroélectrique peut également être assez instable. Dans un premier temps, en cas de sécheresse, la centrale peut ne pas couvrir les besoins minimums en électricité de la ville. D’autre part, en cas d’inondation, la centrale peut connaître de graves dysfonctionnements qui ont un impact direct sur la fourniture d’électricité.

Il faut également savoir que la maintenance de ce type d’installation peut être assez contraignante. Dans certains cas, une mini-coupure de courant peut être nécessaire, notamment si les techniciens doivent remplacer un composant. Dans certains pays du monde, la maintenance est également très rare, ce qui peut provoquer des coupures de courant pouvant durer des heures.

Soulèvements et temps d’installation !

Pour pouvoir produire de l’électricité à partir d’une centrale hydroélectrique, il est essentiel de disposer d’un terrain adapté. En effet, la hauteur, la vitesse et la quantité d’eau doivent être suffisantes pour répondre aux besoins de ce type d’installation.

De plus, pour une nouvelle installation, les techniciens doivent d’abord construire un barrage hydraulique suffisamment puissant pour contenir l’eau. Ce n’est qu’ensuite que les composants essentiels au fonctionnement de l’installation peuvent être posés. La mise en place de l’ensemble de la structure peut donc prendre beaucoup de temps.

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